Yak Vdoma, un projet d’accueil de journalistes ukrainiens exilés à Bucarest

Publié le 24 juin 2024

Axel, Hugo et Mylan en 3e 3 médias au collège Roger Salengro de Saint Martin Boulogne ont eu la chance au cours d’un séjour Eramus Plus en Roumanie d’interviewer Angela GRAMADA, coordinatrice du projet Yak Vdoma en Roumanie. Yak Vdoma signifie en Ukrainien, « comme à la maison ». Ce projet permet aux journalistes ukrainiens exilés d’être accueillis en Roumanie.

Boulogne-sur-Mer (France) / Galati (Roumanie)

Ce mercredi 17 avril à RFI Romania à Bucarest, nous avons aussi la chance d’interviewer Angela GRAMADA, coordinatrice régionale du projet Yak Vdoma, un projet très important qui permet d’apporter une aide précieuse aux journalistes ukrainiens exilés.

Nous rencontrons également Anton, qui travaille avec Mme GRAMADA sur ce même projet. Marine LEDUC nous accompagne pour nous aider à la traduction, car l’interview se déroule en Anglais !

Mylan au micro questionne Angela GRAMADA en anglais sur le projet d’accueil des journalistes ukrainiens © Globe Reporters

Grâce à Angela et Anton, nous avons découvert d’autres conséquences de la guerre en Ukraine, à savoir la difficulté pour les journalistes ukrainiens de continuer à travailler sereinement dans leur pays d’origine en guerre. Ils ont pris du temps pour échanger avec nous.

Merci à eux d’avoir accepté de répondre à nos questions malgré leur emploi du temps très chargé.

Une interview réalisée le 17 avril 2024

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Pourquoi ce projet a-t-il été créé ? Qui en est à l’origine ?

  • Comment se passe une résidence ?

  • Comment se passe le voyage des journalistes qui viennent d’Ukraine ?

  • Quelle aide apportez-vous aux journalistes ukrainiens ?

  • Est-ce que Yak Vdoma existe dans d’autres pays ? Si oui lesquels ? Sinon pour quelles raisons ?

  • Est-ce que les journalistes qui viennent à Bucarest continuent leur activité d’information ?

  • Est-ce que des journalistes restent en Roumanie après leur résidence ?

  • Si le projet devait se terminer, que deviendraient ces journalistes ?