Rodrigue KABORE est une figure de l’histoire du cinéma au Burkina Faso. Ce propriétaire de la plus ancienne et plus grande salle de cinéma de Ouagadougou répond aux questions des globe-reporters Théo, Adrien, Tom et Titouan de la classe de 1ère S du Lycée Aristide Briand de Gap.
C’est enfant que Rodrigue KABORE a attrapé la « fièvre du cinéma » dans le cinéma construit par son père en 1990. Depuis, il n’a eu de cesse de faire partager sa passion pour le 7ème art, notamment auprès des jeunes de Ouagadougou.
Après avoir discuté avec le propriétaire du cinéma, l’envoyée spéciale des globe-reporters rencontre Draman, le projectionniste.
Rodrigue KABORE devant le cinéma construit par son père et dont il est aujourd’hui propriétaire.
Les films à l’affiche lors de la visite de l’envoyée spéciale des globe-reporters. Les films burkinabés sont en haut de l’affiche.
Une programmation hétéroclite.
La cabine du projectionniste.
Des vieux films français en bobines de 35mm.
Les films s’entassent dans la cabine de projection.
Un film avant l’arrivée du numérique.
Des conditions de conservation pas recommandées. Ces films sont inflammables.
Du matériel pas très récent.
L’ancien projecteur du Neerwaya.
Du matériel de projection plus moderne.
Une machine que le numérique va reléguer au musée du cinéma.
Un écran de contrôle.
Une époque où le matériel pesait son poids, mais était solide comme du roc.
La lucarne de projection.
La salle du Neerwaya.
La salle du Neerwaya.
La salle du Neerwaya.
Draman, le projectionniste du Neerwaya.
Rodrigue KABORE, un fondu de cinéma.