Les globe-reporters du lycée Léonard de Vinci de Montaigu (85) souhaitent interviewer un pêcheur traditionnel de l’estuaire du fleuve Wouri qui se jette dans l’océan Atlantique au niveau de Douala. Ce n’est pas 1, mais 5 pêcheurs, François, Guillaume, Monsieur Frite, Emmanuel et Raphaël, qui répondent à leurs questions.
Les globe-reporters et globe-reportrices du lycée Léonard de Vinci de Montaigu (85) proposent à notre envoyé spécial au Cameroun, le journaliste Raphaël KRAFFT, d’aller à la rencontre (...)
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Les pêcheurs de Bonassama impuissants face à la pollution du fleuve Wouri
13 janvier 2024 -
Les Belges, BéDéphiles de 7 à 77 ans
12 avril 2019Pourquoi la BD est-elle si populaire en Belgique ? Willem DE GRAEVE, directeur et responsable de la communication du musée de la BD de Bruxelles, répond aux globe-reporters de l’école primaire et du collège Camille Claudel à Paris.
Bienvenus dans le monde belge des bulles. Des bulles de BD évidemment. Pourquoi ce petit pays occupe une si grande place dans l’univers mondial de la bande dessinée ? William DE GRAEVE fait la lumière sur ce mystère.
Un reportage réalisé en janvier (...) -
Un repas gastronomique avec un grand chef roumain pour la bonne cause
8 février 2015Le grand chef roumain Adrian Hadean a cuisiné samedi 7 janvier 2015 pour un diner caritatif dans un restaurant de Bucarest. L’envoyée spéciale des globe-reporters a pu lui poser quelques questions après le repas.
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« Pour l’environnement comme pour le reste, ce n’est jamais simple de se mettre d’accord à 28 pays », Gilles Toussaint
30 avril 2019Gilles Toussaint est journaliste à la Libre Belgique, un quotidien où il a été responsable de la rubrique Planète. Aujourd’hui, il ne travaille plus à temps plein sur les questions environnementales et consacre une partie de son temps à suivre les instances européennes. Il répond aux questions des globe-reporters Eylül, İdil, Derin, Aydın, Mert, Yağmur du lycée Saint Benoît d’Istanbul.
Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer pourquoi vous pouvez répondre à ce questionnaire ?
Je m’appelle Gilles (...) -
Plantons plus de mangrove, nuisons moins !
14 mars 2024Les élèves des classes de 5ème2 et 5èm4 du collège Notre-Dame à Meudon souhaitent interviewer un spécialiste de l’érosion côtière. Loika BILIOK, étudiante et son professeur Raphaël ONGUENE, Enseignant-chercheur spécialisé en océanographie à l’IUT de Douala répondent à leurs questions.
Les élèves des classes de 5ème2 et 5èm4 du collège Notre-Dame à Meudon demandent à notre envoyé spécial au Cameroun, le journaliste Raphaël KRAFFT de rencontrer un spécialiste de l’érosion côtière au Cameroun.
Quelques jours avant (...) -
« Les tortues ont des capacités de survie exceptionnelles »
12 février 2018Stéphane CICCIONE est Directeur du centre Kélonia, l’observatoire des tortues marines de La Réunion. Ancienne ferme d’élevage, l’endroit est devenu un musée, un centre de recherche et de soins pour ces animaux mystérieux. Il répond aux questions de Nawfel et Amandine, les globe-reporters du collège Pierre et Marie Curie à Liévin (62).
Kélonia est un centre de sensibilisation à l’environnement sur le thème des tortues marines, réparti autour de 1 500 m3 de bassins alimentés en eau de mer, des locaux (...) -
Comment sauver les lémuriens de Madagascar ?
19 mars 2024Les globe-reporters et globe-reportrices de CM1 Et CM2 de l’école primaire Les Batignolles se demandent comment protège-t-on les lémuriens du braconnage à Madagascar. Tantely Mampionona RAKOTOMALALA, agent forestier, biologiste et écologue de la Direction régionale de l’Environnement et du Développement durable au Vakinankaratra, répond à leurs questions.
Les élèves de CM1 Et CM2 de l’école primaire Les Batignolles s’intéressent à la protection des lémuriens à Madagascar. Ils demandent à leur envoyée (...) -
Recyclage à la machine à café
7 décembre 2015Vous ne savez pas quoi faire de vos gobelets. Canibal a la solution.
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Beyrouth, de crises en crises
11 février 2021La double explosion du 4 août 2020 à Beyrouth est présente dans tous les esprits. Une tragédie de plus dans la mémoire collective des Libanais.e.s qui a causé la mort de plus de 200 personnes. Cinq mois après, la ville reste meurtrie par l’événement.
A Beyrouth, je me retrouve au cœur d’une ville fatiguée. L’ambiance est différente de ce que j’ai connu en 2015, 2017 et 2018, lors de mes précédents voyages.
La crise sanitaire d’abord, m’a contraint à vivre dans un pays confiné. Si le couvre-feu (...) -
Le taxi n’est pas cher, mais le métro va plus vite
10 janvier 2015Oana Gorun, 25 ans, a toujours vécu à Bucarest. Elle présente aux globe-reporters du collège Camille Claudel à Paris les différents modes de transports de la capitale.
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